Derrière chaque tomate bien rouge du supermarché se cache un vide. Un vide nutritionnel.
L’agriculture industrielle a troqué la qualité contre la quantité. Résultat : des fruits et légumes appauvris en nutriments, visuellement parfaits mais quasiment creux. (cf l’article du mois dernier)
D’après les données du Nutriscope certains légumes ont perdu jusqu’à 50 % de leur teneur en fer depuis les années 1950, et la vitamine B2 a chuté de 38 %.
Pourquoi ? Parce qu’après 1945, l’industrie chimique issue de l’armement a trouvé une nouvelle cible : l’agriculture. Engrais de synthèse, sélection variétale intensive, objectifs de rendement… tout a été pensé pour produire vite, stocker longtemps et voyager loin. Le résultat ? Des fruits et légumes appauvris, bien loin de ceux que cultivaient nos grands-parents.
Vous croyez manger sain… En réalité, vous avalez des aliments calibrés pour séduire l’œil mais vidés de leurs nutriments.
L’uniformité des fruits et légumes en grande surface ne surprend plus personne. Et pourtant, elle traduit un vrai décalage : celui entre la nature imparfaite d’un aliment vivant… et les légumes transformés de l’agro-industrie. À force d’être exposés à ces produits “parfaits” quelle que soit la région dans laquelle on les achète, on en oublie ce que devrait être un légume réellement naturel.
Ce n’est pas une théorie, c’est un constat scientifique.
L’agriculture moderne, boostée par les machines puissantes et les intrants issus des hydrocarbures, a contribué à enrichir l’atmosphère en CO₂. Résultat ? Les plantes assimilent plus de carbone, produisent davantage de sucres… et grossissent plus vite.
Elles paraissent plus belles, plus volumineuses, mais cet aspect cache un déséquilibre : leurs feuilles, fruits et racines contiennent de moins en moins de minéraux essentiels comme le fer, le zinc, le calcium, ou encore certaines vitamines.
Le National Geographic évoque une chute moyenne de -8 % des minéraux, avec des pics allant jusqu’à -40 % pour le fer et le zinc. Une perte invisible qui équivaut à retirer une partie du peu qu’il restait déjà à manger.
Cueillis verts, stockés des jours, conditionnés pour le transport (emballages, chaîne du froid…) : vos légumes perdent jusqu’à 20% de leur teneur en antioxydants et vitamines pendant le transport ou le stockage post-récolte. Voir l’article du Nutriscope
En France, 3 adultes sur 4 ne mangent pas les 5 portions de fruits et légumes quotidiennes recommandées. Et ceux qui y arrivent ? Ils n’ont plus le même apport qu’il y a 50 ans :
Résultat : des carences généralisées, 2 milliards de personnes concernées dans le monde, et une facture salée pour la société — 8 000 milliards de dollars par an, selon la FAO.
Alors quoi… Faudrait-il manger 25 portions par jour pour espérer combler les manques ?
Spoiler alert : même là, vous prendriez votre dose de pesticides avec.
Et si vous arrêtiez de subir… pour enfin cultiver ?
Avec une serre Myfood, vous produisez vous-même vos fruits et légumes, chez vous, toute l’année. Vous semez, vous récoltez à maturité, vous goûtez à nouveau la vraie fraîcheur – celle qu’aucun supermarché ne peut offrir.
Fini les doutes sur la provenance ou les vitamines évaporées en route.
Vous choisissez des variétés riches en nutriments, vous maîtrisez vos intrants et dites adieu aux pertes liées au transport. Bonus : vous faites un vrai geste pour la planète
Résultat ? Des aliments ultra-frais, sains, savoureux… et dont vous êtes l’artisan.
C’est concret, gratifiant et ça change tout pour votre santé, votre famille… et votre confiance dans l’avenir.
